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Les pérégrinations d’une journaliste et organisatrice de conférences au temps du Covid et après...

Isabelle Alexandrine Bourgeois est journaliste, réalisatrice et organisatrice d’événements dédiés, dit-elle, à « la beauté en l’humain et à la liberté ». « Ils ont pour but de nous libérer de nos mécanismes d’aliénation pour sauter sur le chariot de notre destinée la plus haute, par la joie et la souveraineté », écrit-elle. Depuis le confinement jusqu’à nos jours, elle a buté sur plusieurs obstacles auxquels elle ne s’attendait pas dans un contexte démocratique comme celui de la Suisse. Elle a accepté de partager son expérience depuis le confinement jusqu’à la conférence de Louis Fouché le 24 février dernier.

 

Acte I - 16 mars 2020 : la Suisse bascule dans le confinement

Je rentre depuis peu d’un tour d’Europe journalistique d’un an en camping-car à la rencontre de gens ordinaires extraordinaires (Joy for the Planet), dont j’ai réalisé bénévolement un film et un livre « La Route de la joie ». Depuis toujours, je fais la promotion d’un journalisme positif par l’ouverture et l’exemplarité. En plein confinement, comme bonne ambassadrice de la joie et pour encourager mes lecteurs à rester dans leurs plus hautes vibrations, je projette clandestinement mon film à l’invitation de particuliers, dans des salons privés, des garages, des greniers ou dans des caves.  J’ai la ferme conviction que l’utilisation de la peur est un moyen de nous tenir en laisse et je préfère y répondre en partageant des histoires inspirantes.

 

En décembre 2020, les autorités helvétiques, aux « bons soins » de Monsieur Berset, lancent la première campagne de vaccins anti-covid. Dans le respect de mon intégrité physique et en soutien à la liberté du choix vaccinal, je redouble d’efforts pour réunir autour de mon film, secrètement et dans l’empathie, toutes les personnes non vaccinées souffrant de discrimination et de stigmatisation. Les personnes vaccinées y sont évidemment bienvenues aussi. Une immense famille se constitue, élargie par d’autres associations et mouvements engagés pour la liberté du choix thérapeutique et la transparence dans les médias. Ceux-ci se montrent d’ailleurs étrangement complaisants avec les décisions des autorités de notre pays qui n’avaient pourtant encore aucun recul sur les possibles effets secondaires de ces injections. On peut observer que ces incidences sont aujourd’hui en pleine explosion, selon les nombreux témoignages auxquels il est facile d’avoir accès, comme sur le site de Swissmedic, où on peut voir 38,5% d’effets graves parmi les cas déclarés auprès de l’Institut suisse. Source

 

Acte II - avril 2022 : premières salves des polisseurs de pensée

Devant ce resserrement de la diversité des opinions, je fonde Planetpositive avec Matthias Faeh, une tribune d’expression libre qui traite de nombreux sujets comme la santé, la philosophie, la spiritualité, l’aventure humaine, la liberté, le droit des peuples ou la géopolitique. Le premier invité de la plate-forme est un médecin-anesthésiste français, Louis Fouché, déjà célèbre et controversé pour ses critiques contre les injections anti-covid et ses questionnements sur le bien-fondé des mesures sanitaires dans le monde. Les soirées se déroulent harmonieusement dans un centre culturel à Etoy, Les Ateliers de La Côte, et dans un Aula à Bulle, devant des salles pleines à craquer. Pourtant, nous devons faire face à quelques premières tentatives d’annulation de ces soirées par des informateurs anonymes, notamment à Bulle. Mais l’administrateur général du CO de la Gruyère tient bon en évoquant le droit à la liberté d’expression.

 

Les principaux sujets traités par Planetpositive depuis sa création, parmi moult ateliers d’approfondissement de la connaissance de soi, sont les suivants : « Homme conscient ou homme augmenté, quel choix faisons-nous » avec Louis Fouché et Matthias Faeh, ingénieur, « Comment construire sa vie avec un futur incertain ? » avec Louis Fouché et un collectif de jeunes fribourgeois, « Fake news et actualité, comment y voir clair ? » avec Jacques Baud, ex-membre du renseignement stratégique suisse, « La tyrannie du bien et la mécanique du mensonge » avec Guy Mettan, journaliste, « Âme humaine et totalitarisme » avec Ariane Bilheran, psychothérapeute, « Les biolabs » avec Franco Fracassi, journaliste d’investigation, « CO2, gaz de la fin des temps ? » avec Matthias Faeh, « Vivre ! » avec l’artiste Frédérique Lemarchand, « Le wokisme est-il dangereux pour la démocratie » avec l’ancienne conseillère nationale Suzette Sandoz et Guy Mettan, ou encore « Comment sortir de la dualité ? » avec le Dr. Odile Myriam Ouachée et Eve Bertelle, psychanalyste.  Tous les intervenants à découvrir sur la chaîne youtube Planetpositive, ont des parcours exemplaires, qu’ils soient artiste, scientifique, journaliste, médecin, agriculteur, ingénieur, anthropologue, psychothérapeute ou militaire de haut rang.

 

Acte III – automne 2022: les pressions s’accélèrent En septembre 2022, Planetpositive propose une conférence-concert intitulée « À la recherche de l’accord perdu » avec le célèbre anthropologue et musicien amateur passionné, Jean-Dominique Michel, au centre culturel des Ateliers de La Côte à Etoy. Coup de théâtre : suite à la tenue d’une conférence par un orateur français controversé non organisée par Planetpositive, des journalistes de Heidi News (aujourd’hui absorbé par un autre quotidien romand) ont contacté les locataires du centre culturel, ainsi que quelques sponsors des spectacles qui s’y organisaient pour leurs demander s’ils étaient au courant qu’ils soutenaient des événements qui se tenaient dans « le QG des complotistes romands». Craignant des représailles et même la fermeture de leur établissement, la direction des Ateliers de La Côte a cédé à la pression pour protéger les intérêts de ses locataires comme ses activités économiques. Embarrassés, les directeurs m’ont donc demandé de délocaliser la soirée de Jean-Dominique Michel une semaine avant la rencontre, car l’anthropologue était connu lui aussi pour son franc-parler et ses critiques dans la gestion de la crise sanitaire. Nous n’avions qu’une semaine pour rebondir, trouver une salle et communiquer aux nombreux inscrits le déplacement de l’événement à Nyon. Éprouvée par ces volte-face douloureux, j’ai décidé de trouver d’autres salles pour organiser nos futurs conférences.

 

Acte IV – été/automne 2023: douce et courte trêve Un peu ébranlée, je propose des événements moins risqués : cueillette de plantes comestibles et sauvages, ateliers de la mer avec baleines et dauphins, disco party, concert sur la musique des plantes et projection du film La Route de la Joie ou sur les elfes d’Islande! Tout va bien dans le meilleur des mondes ! Rire ! Mais quelque chose me gratte et grippe dans la mécanique de mon âme en quête d’intégrité et de justice. Comme une cloche, me tinte inlassablement à l’esprit cette citation de John Stuart Mill lors d’un discours prononcé à l’Université St Andrews en 1867: « Ne laissez personne apaiser sa conscience en lui faisant croire qu’il ne peut faire de mal s’il ne participe pas, et ne donne pas son avis. Les hommes méchants n’ont besoin de rien de plus pour parvenir à leur fin, que d’hommes bons qui contemplent sans intervenir. » J’étais résolument déterminée à continuer à tendre le micro à ceux qui apportent des éclairages alternatifs à l’information unilatérale des médias conventionnels.

 

Acte V – hiver 2024 : l’étau se resserre à nouveau Voici ce que j’observe : plus le grand public se questionne sur la sincérité des gouvernements à vouloir le bien du peuple concernant leurs décisions sur la santé, le climat, le genrisme, la paix, l’inclusion, etc., plus la pression augmente sur l’organisation de nos événements. Mais tout tranquillement, je poursuis mon propre engagement à défendre la liberté d’expression. Héros du contre-pouvoir et à la demande du public de Planetpositive, je décide de faire revenir Louis Fouché pour une conférence avec pour titre « Traverser la peur ». Un thème peut-être utile à des citoyens habités par les doutes et les angoisses. La presse me contacte immédiatement et me demande, sur un ton proche de la réprimande, pourquoi j’invite le médecin, alors qu’il est provisoirement condamné par le Conseil de l’Ordre des Médecins français pour l’information (toujours sourcée) sur les effets secondaires des vaccins qu’il a délivré au public. Je réponds par écrit : « Quel rapport avec son droit à s’exprimer librement ? Il y a un appel en cours et cet appel est suspensif de la condamnation. Est-ce que le conseiller d’État genevois Pierre Maudet, malgré une condamnation pénale, bien confirmée, elle, a été censuré, empêché de s’exprimer en public ou même d’être élu ? ». J’écris à la rédaction des deux quotidiens genevois et vaudois que, « en qualité de journaliste et organisatrice d’événements, je soutiens le débat public et la liberté d’expression, cruellement mise à mal depuis la crise Covid. Louis Fouché a toute la latitude d’exercer sa liberté d'expression et je trouve curieux que les journalistes tentent de la restreindre. » Le rôle déontologique des journalistes n’est pas d’orienter l’opinion publique. Je fais confiance à la capacité de discernement des humains et je respecte leur liberté à user par eux-mêmes de leur esprit critique. Ce n’est pas à nous, journalistes, de façonner leurs pensées. Notre mission est plutôt de leur proposer des espaces de questionnements et de réflexions sous plusieurs angles sur des thèmes d’actualité, surtout quand il s’agit de la santé publique.

 

La journaliste m’a également demandé si « inviter une personnalité controversée n’était pas valider ses propos ?»  Depuis quand inviter, c’est cautionner ? Est-ce que lorsque la RTS invite, à la radio ou à la télévision, une personnalité politique à s’exprimer pendant une campagne électorale, cela signifie que toute la chaîne valide ses propos ? En tant que journaliste, je ne veux pas tomber dans un dogmatisme sectaire et paranoïaque nuisible à nos démocraties, mais plutôt promouvoir une information d’ouverture, d’indépendance, d’inspiration et de respect de la diversité des opinions.

 

Enfin, pour couronner le tout, la journaliste m’a demandé si les propos de Louis Fouché évoquant un risque potentiel de stérilité sur les femmes vaccinées n’étaient pas « culpabilisant » pour elles. Cette question m’a laissée sans voix ! N’est-ce pas le contraire ? Je lui ai demandé si elle avait entendu parler du collectif « Où est mon cycle » fondé par Mélodie Feron qui vient de publier son ouvrage « Où est mon cycle? Et toi, où est le tien ? » et dans lequel elle raconte son combat et la souffrance de ces femmes privées de leur souveraineté corporelle suite aux injections contre le Covid-19. (Pour  info :https://www.dailymotion.com/video/x8gchqu)

En quoi est-ce culpabilisant d’informer les femmes sur les risques éventuels de ces injections sur leur santé et leur désir d’avoir des enfants? Comment un journal comme ce grand quotidien genevois où j’ai fait avec fierté mon stage de journaliste pendant mes études en Sciences Politiques en 1991 à Genève se permet-il à ce point d’orienter ses questions ? Au nom de quelle légitimité les médias doivent-ils se positionner en arbitres dans une discussion publique ? Les lecteurs ne sont-ils pas en droit de recevoir une information factuelle, neutre et impartiale ?

Acte VI - février 2024 : quand les politiciens s’en mêlent Quelques jours avant la conférence organisée à Aubonne avec Louis Fouché le 24 février, quinze représentants d’Ensemble à gauche, du Parti socialiste et des Verts.e.s ont interpellé la municipalité de Lausanne dans une lettre ouverte partageant leurs inquiétudes sur la venue de l’anesthésiste en Romandie. Je trouve intéressant qu’aujourd’hui des représentants politiques se sentent investis d’une mission de censure de ce qui est dit dans les espaces publics et même dans nos salons privés, puisqu’ils demandent à la municipalité d’examiner « avec la plus grande circonspection » toute demande d’autorisation ou de location de salles en lien avec les interventions de Louis Fouché. Ils s’ingèrent même dans la rencontre privée avec le médecin organisée à Lausanne par le Mouvement Fédératif Romand qui a lieu dans un restaurant. On est en droit de se demander qui bascule dans le sectarisme, les signataires de cette lettre diffamatoire ou un citoyen du monde aux critiques non-violentes ? Pourquoi ne pas évoquer les autres thèmes de ses conférences, ses découvertes sur de nouvelles actions citoyennes, écologiques et solidaires, des initiatives culturelles et scientifiques pluridisciplinaires ? Je précise que je suis apolitique, mais je trouve dommage que ce comportement puisse hélas donner raison à cette citation de Léo Ferré « La gauche est une salle d’attente pour le fascisme ». Aucun parti ne peut s’accaparer la vérité.

La démarche de ces signataires s’aligne curieusement sur celle de la presse conventionnelle qui, depuis la crise covid, se permet de soutenir, sans la moindre critique, le narratif gouvernemental et des déclarations scientifiques gravées dans le marbre, dont on sait aujourd’hui qu’elles peuvent être conditionnées sans scrupules par des intérêts économiques. Si la science a toujours avancé, c’est bien grâce au doute et aux remises en questions! Est-ce normal par exemple qu’un homme d’affaires comme Bill Gates, un multimilliardaire non élu et sans aucune connaissance médicale, s’immisce dans la politique sanitaire mondiale, collabore avec Pfizer et, via la Fondation Bill et Melinda Gates, devienne le second contributeur de l’OMS ?  C’est en tout cas un débat que les médias publics devraient avoir l’obligation d’organiser ! Au contraire, ils cherchent à nuire et à faire taire ceux qui osent s’interroger.

 

Auto-goal de la gauche Avec cette missive que je qualifie plutôt de suicidaire, quelle surprenante image donne la gauche lausannoise, sous couvert de vouloir le bien pour tous, trahissant son particularisme politique empathique pour assassiner socialement et sans fondement de simples citoyens qui commettent l’insolence de questionner les mesures prises par les autorités pendant la crise covid ! Pourquoi cet acharnement contre des citoyens qui ne soutiennent pas la doxa, au point que des représentants de partis politiques s’adressent à un syndic pour prétendument  protéger le peuple ? Qui sont ces politiciens pour se placer en juges suprêmes du Bien et du Mal ? Ce faisant, ils dissuadent de nombreux électeurs qui étaient naguère proches de leurs idées, de voter pour eux.

 

Bien entendu, dans la foulée et la veille des conférences de Louis Fouché à Aubonne et à Lausanne, la presse en a remis une couche avec quelques articles acerbes, sans objectivité, ni pluralité de visions dans le traitement de ces événements. Aucun d’entre eux ne s’est donné la peine d’exposer la vision de Louis Fouché de façon impartiale et transparente ou n’a jugé pertinent de relayer ses propos publics, connus pour être ouverts, rassembleurs, directes certes, mais pacifiques. Beaucoup de médias dénoncent précisément ce qu’ils mettent eux-mêmes en pratique par la radicalisation de leurs articles en nous infligeant un monopole de la vérité. Par inversion accusatoire, ces journalistes de propagande dénoncent précisément ce qu’eux-mêmes incarnent! Pourquoi ne sont-ils pas assez curieux pour aider leurs lecteurs à répondre à leurs interrogations légitimes ? Que craignent tellement les journalistes, comme les signataires de cette lettre et certains politiciens, pour étouffer, voire interdire, le partage public de la diversité des opinions, et en particulier sur l’épineux dossier covid?

 

La commune d’Aubonne a également été informée par la presse de la tenue d’une conférence sur son sol en présence d’une personnalité « controversée ». Elle a répondu, sans vaciller, qu’elle ne connaissait pas cet orateur, mais qu’elle soutenait la liberté d’expression, ce qui a provoqué une salve d’applaudissement en faveur des autorités communales de la part du public le soir de la rencontre avec Louis Fouché !D’ailleurs, dans le souci de préserver la sphère privée et la paix des personnes présentes dans la salle et parce que je n’ai plus confiance dans les médias romands, j’ai refusé une demande d’autorisation de la Télévisions Suisse Romande à venir filmer dans la salle le soir du 24 février. Le public m’en a également remerciée.

 

Acte VII – Conclusion

Je retiens de cette longue traversée en mer agitée depuis trois ans, plusieurs points : premièrement, la nécessité de dépasser les divisions, non seulement dans la société, entre les clans « pro/antivax», « résistants/complices du système », « moutons/éveillés », etc. mais aussi au cœur de la dissidence. J’ai été témoin de la guerre qu’attisent plusieurs figures de l’opposition, générée par des blessures personnelles non résolues, avec cette absence d’humilité, pourtant nécessaire dans les remises en questions. Je le regrette car, derrière chacune d’elles, j’ai perçu à la fois l’intelligence, la sincérité et la beauté de leur engagement, et la vulnérabilité de personnalités humaines complexes. Grâce à ces tempêtes internes et externes, j’ai appris à tenir mon cap de la joie, à dépasser la polarisation des idées et des opinions, tout en me positionnant clairement pour mes valeurs de liberté et d’unité.

 

Deuxièmement, contre toute attente, je dois remercier les initiateurs de ces divers et variés remue-ménages, car ils ont non seulement renforcé la popularité et le soutien au médecin français lors de sa visite en Suisse, mais aussi la visibilité de Planetpositive et du Mouvement Fédératif Romand, présidé par Michelle Cailler, figure respectée de l’insoumission en Suisse romande, co-organisatrice de la conférence de Louis Fouché à Lausanne avec Réinfosanté Suisse.

 

Troisièmement, je ressens une immense gratitude pour le courage de ces hommes et de ces femmes qui, dans l’Histoire, sont restés et restent encore debout dans l’adversité. En introduction de notre soirée à Aubonne que j’ai dédiée à Julian Assange, j’ai rendu hommage à quelques-uns de ces anonymes ou célébrités, d’hier et d’aujourd’hui, qui ont eu l’audace et la foi de rester profondément humains au cœur de la barbarie, avec la force d’exprimer leurs vérités au temps du mensonge et des manipulations. Je pense à Alexandre Soljenitsyne, Albert Camus ou à Viktor Frankl, rescapé des camps de concentration, qui ont connu la disgrâce ou les tragédies de la guerre. Je pense à Jésus, à Nicolas Tesla, à Jacques Benveniste et tous ces anonymes, héros du quotidien, crucifiés sur la croix de leur loyauté à leurs valeurs. Je pense à Nicci, cette mère célibataire et malade d’un cancer, l’une des héroïnes de Joy for the Planet qui s’était battue contre un système de santé autocratique pour mourir à sa manière. Je pense aux 55 autres personnes ordinaires extraordinaires rencontrés sur ma route en 2018 à travers l’Europe, qui ont été et restent encore, une source d’inspiration pour tous.

 

Comment rester debout malgré l’opprobre dont on couvre injustement publiquement les lanceurs d’alerte, malgré les menaces, la diffamation, les insultes et les sanctions ? Est-ce que le héros est voué à la souffrance ? Car il ne fait pas bon être héros et vivant ! Pour continuer à vivre, faut-il faire mourir le personnage social qui exprime sa vérité ? Celui qui reçoit le statut de héros, devient, quoi qu’il fasse, un exclu. Mais au fond, est-ce grave d’être un exclu du monde ordinaire, quand celui-ci dérive vers le totalitarisme? Et si ces héros nous montraient la direction d’un futur enchanteur et souverain ? Ce sont ces hommes et ces femmes que nous souhaitons inviter à travers Planetpositive. Ceux qui, dans le respect de la loi et des hommes, pensent sincèrement au bien-être de tous.

 

À travers mes reportages pour Joy for the Planet, mon engagement pour Planetpositive (organisation d’événements) et aujourd'hui avec mon nouveau média Planète Vagabonde, rien ne compte plus pour moi que de chercher à être la plus belle expression de ce que le Ciel a mis en moi et à déployer la beauté des autres.

 

Isabelle A. Bourgeois

Journaliste nomade et réalisatrice

 



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