QUI SUIS-JE ?

Je ne me sentais plus alignée sur les valeurs et les informations unilatérales relayées par les médias institutionnels, conditionnées par des enjeux purement économiques, idéologiques et politiques. Je ne voulais plus me rendre complice d’un contenu journalistique qui enchaîne les humains à leurs peurs et cultivent leur ignorance. Je préfère publier des informations qui nous élèvent par l’inspiration et l’exemplarité.

Les activités avec lesquelles je vis sont : praticienne en constellations familiales individuelles, en groupe et géopolitiques, organisatrice d’événements et de voyages, journaliste francophone pour le magazine de l’Aide humanitaire suisse, conférencière. J'ai également deux micro chambres d'hôtes, l'une à Pinsec et l'autre dans ma roulotte Mandoline au château de la Flocellière en Vendée. Je suis également auteurs de plusieurs livres.

Je mets mon attention sur les petits bonheurs simples au quotidien, je pratique la gratitude, j’aime rendre service, je me relie à la beauté universelle dans le monde et chez les autres, au-delà de leur personnalité et de leurs comportements. Je dirige mon regard sur ce qui me relie aux humains plutôt que sur ce qui me sépare d’eux. Je nourris la conscience que je suis bien plus qu’un « sac de peaux », mais une expression parmi des milliards d’autres de la sagesse divine qui se manifeste à travers moi. J'apprends aussi à me dé-sidentifier de toutes les étiquettes que je me suis donnée ou que l'on me donne pour devenir peu à peu une coupe libérée de son contenu pour accueillir un jour, je l'espère, le Mystère et la vacuité.

Bien sûr ! J’ai travaillé comme humanitaire dans des pays en guerre, entre les balles de fusil et les cris de désespoir des victimes de conflits armées. Cependant, j’ai toujours réussi à transformer mes doutes et mes peines en me reliant à mon être sacré, à la confiance et à l’intelligence de vie qui co-créé avec moi. De cette manière, j’attire de magnifiques rencontres et expériences dans ma réalité personnelle. Incarner ce grand OUI à la vie, dans l’acceptation de ce qui est, tout en prenant position pour mes valeurs et en posant mes limites, est un savant dosage qui, lorsqu’il est réussi, ouvre grand la porte de la sérénité.

En qualité de journaliste et organisatrice d’événements, je soutiens le débat public et la liberté d’expression, cruellement mise à mal depuis la crise Covid. Je constate que la majorité des médias se radicalisent et nous infligent un monopole de la vérité. Le rôle déontologique des journalistes n’est pas d’orienter l’opinion publique. Je respecte la liberté des individus à user par eux-mêmes leur esprit critique. Ce n’est pas à nous, journalistes, de façonner leurs pensées. Notre mission est plutôt de leur proposer des espaces de questionnements et de réflexions sous plusieurs angles sur des thèmes d’actualité. Je reste une journaliste et reporter fidèle à mon métier et à la Déclaration des devoirs et des droits des journalistes qui doivent (art.2) « défendre la liberté d’information et les droits qu’elle implique, la liberté du commentaire et de la critique, l’indépendance et la dignité de la profession ». La liberté d’expression est un droit fondamental protégé par la Constitution.