top of page

Kirk-exclusif: «Et si tout n’était qu’une mise en scène» - Les analyses chocs d’Ole Dammegård

Dernière mise à jour : 27 sept.

L’annonce de l’assassinat de Charlie Kirk, figure centrale de la droite conservatrice américaine, a stupéfié ses partisans et largement occupé l’espace médiatique. Un peu trop d’ailleurs pour ne pas éveiller la curiosité des quelques sceptiques, comme le célèbre expert en décodage d’opérations sous faux drapeau, Ole Dammegard, journaliste d’investigation et conférencier renommé. Dans une longue vidéo réservée à ses abonnés et que j’ai décortiquée en exclusivité pour vous, il pose une question qui dérange: et si la fusillade n’avait jamais eu lieu? Je reprends ici, étape par étape, les observations qu’il avance comme indices d’une vaste opération de mise en scène. Attachez vos ceintures! Voici, photos à l'appui, l'analyse détaillée du spécialiste des psyops qui ose humblement se poser des questions, sans imposer sa vérité. Libre à chacun d'y adhérer ou non, l'important étant de travailler notre muscle du discernement et de l'esprit critique.

ree

Ole Dammegård a passé des décennies à enquêter sur des affaires telles que l'assassinat de JFK et Olof Palme, ainsi que sur des fusillades de masse, qu'il analyse sous l'angle des opérations sous faux drapeau. Ses travaux se concentrent sur la déconstruction des récits officiels et la mise en lumière de ce qu'il perçoit comme des manipulations et des symbolismes cachés. Il a le mérite de creuser d'autres hypothèses que les récits prêt-à-consommer que l'on nous sert en boucle.

Une caméra de parking qui filme comme un humain

Dammegård démarre sa présentation avec ce qui est, pour lui, la première anomalie flagrante. Les images de vidéosurveillance censées immortaliser l’évasion du tireur sur le parking montrent un suivi presque cinématographique: le suspect court, et comme par hasard, la caméra se met précisément à zoomer et à pivoter pour le garder parfaitement dans le champ jusqu’à sa disparition. Or, rappelle-t-il, ces caméras sont statiques, braquées sur un parking banal où «rien ne bouge sinon les voitures». Pourquoi auraient-elles été déplacées au moment exact où débute la fuite? Dammegård compare la séquence à une régie TV prévue à l’avance: «On ne filme pas les voitures, on filme le fuyard.»

Selon lui, cela ne peut être le fruit du hasard: soit quelqu’un actionnait manuellement la caméra parce qu’il savait à l’avance ce qui allait arriver, soit il s’agissait d’une captation montée de toutes pièces pour servir d’élément narratif.

ree

Le tireur, l’alignement géométrique et les symboles occultes

Ole projette deux images censées représenter l’assassin présumé.

Sur l’une, l’homme paraît longiligne, sans lunettes; sur l’autre, les traits du visage, la bouche et la structure osseuse ne correspondent pas. Le procédé (introduire volontairement des variations dans l’identité visuelle) est une technique que Dammegård affirme avoir observée dans d’autres opérations sous faux drapeau: ça crée de la confusion et détourne l’attention vers des débats secondaires.


ree

À l’arrière-plan, juste entre le stand de Kirk et le bâtiment du tireur, trône un atrium en forme de pyramide de verre. Pour le journaliste, ce n’est pas fortuit: la référence à la pyramide et sa pierre angulaire est une signature maçonnique déjà observée dans d’autres opérations médiatisées.

Ole remarque qu’un ensemble de lignes formé par la disposition des lieux — podium, allée, structures autour du gazebo — crée une forme de flèche. Il suggère que la flèche pourrait indiquer une direction ou un alignement, avec une structure symbolique en arrière-plan par exemple, ce qui est bien le cas: une ligne droite prolongeant l’axe scène–pyramide–fenêtre du tireur aboutit pile… à un obélisque monumental construit à proximité et baptisé curieusement «Statue of Responsibility» (Statue de la responsabilité).

ree
Vue aérienne de la statue de la responsabilité
Vue aérienne de la statue de la responsabilité

Pour Dammegård, le fait que la trajectoire supposée de la balle passe visuellement par la pyramide, puis par la Statut of Responsibility, n’est pas une coïncidence mais une «mise en scène rituelle», conçue pour insinuer l’idée d’un nouveau chapitre de l’histoire américaine sous l’égide des symboles occultes. L'artiste qui a créé cette statue est le sculpteur de l'Utah Gary Lee Price.


Son inspiration principale vient des écrits de Viktor Frankl, un neurologue, psychiatre et survivant de l'Holocauste. Dans son livre influent, Man's Search for Meaning (L'Homme à la recherche d'un sens), Frankl a proposé l'idée de compléter la Statue de la Liberté sur la côte Est des États-Unis par une Statue de la Responsabilité sur la côte Ouest. Il estimait que la liberté risquait de dégénérer en simple arbitraire si elle n'était pas vécue en termes de responsabilité. Avec Lee Price, le rescapé des camps nazis a été exaucé en 2015, soit dix ans avant l’assassinat de Kirk.

Or, selon Ole Dammegård, contrairement à l’imagerie officielle qui la célèbre comme allégorie universelle de l’émancipation, elle ne représenterait pas Libertas, déesse romaine de la liberté, mais une figure voilée de Lucifer. Rappelant que la statue fut offerte aux États-Unis par la France en 1886 et conçue dans des cercles franc-maçons, il affirme que sa torche brandit non pas la lumière de la liberté, mais la flamme luciférienne, la lumière réservée aux initiés.


Pour Dammegård, le rapprochement entre «Liberté» et «Responsabilité» forme une dialectique perverse: on accorde au peuple une liberté, mais immédiatement conditionnée à une responsabilité qui devient instrument de contrôle. Et de conclure que la Statue de la Liberté, brandie dans les crises et commémorations nationales, n’est pas le flambeau de l’émancipation, mais le talisman d’un agenda occulte où le mot «liberté» masque en réalité son exact opposé.

ree
ree

Le coup de la douille Dammegard raconte en ricanant et en levant les yeux aux ciel que les médias ont rapporté que certaines douilles portaient des inscriptions manuscrites, telles que Hey fascist, des références humoristiques (If you read this you are gay), et même une allusion musicale Bella Ciao. Pour lui, cette version est totalement absurde techniquement. «Sur un objet miniature comme une douille, écrire des phrases entières est pratiquement impossible de façon lisible. De plus, les douilles présentées au public n’ont jamais été exposées directement, seulement mentionnées, ce qui augmente son soupçon de fabrication narrative».


Ole compare cela avec les armes du massacre de Christchurch en Nouvelle-Zélande (2019), sur lesquelles des slogans avaient été gravés. C’était déjà, d’après lui, une signature rituelle récurrente.

L’étrange pauvreté des preuves visuelles dans un méga meeting

«À l’heure où de nos jours chaque spectateur filme son café ou son hamburger», commente Dammegård, «comment expliquer que sur 3 000 personnes avec environ 3 000 smartphones…à peine quatre ou cinq clichés disponibles ont circulé? Non seulement le public n’a pas publié d’images, mais les vidéos officielles sont d’une qualité très médiocre, floues aux moments clés, comme toujours. Pourquoi, à l’ère de la 4K accessible à tous, retombons-nous sur des images pixelisées comme en 1998, justement quand il faudrait voir clair?», interroge-t-il.

Il rappelle que ce flou providentiel a déjà accompagné d’autres évènements suspects: attentats du marathon de Boston, attentat de Nice, fusillade de Christchurch, attentat contre Donald Trump… À chaque fois, au moment crucial, les images deviennent brouillonnes ou inexploitables, empêchant toute contre-expertise sérieuse. Pour Dammegård, il s’agit d’une technique volontaire visant à décourager l’analyse scientifique.


Pourquoi si peu de photos du public partagées sur les réseaux?
Pourquoi si peu de photos du public partagées sur les réseaux?
ree

Le tir, le t-shirt et le «sang de cinéma»

Là où l’enquête officielle décrit une balle Mauser qui atteint Kirk au cou, Dammegård démonte chaque détail: un tir de 7,62 mm à bout portant aurait dû projeter le corps violemment en arrière, or Kirk reste droit, tenant encore son micro.

D'autre part, au moment précis de l’impact, le tissu se soulève de manière «mécanique», comme si une charge interne l’avait fait gonfler.


ree

En outre, Dammegard présente une petite vidéo (image ci-dessous) prouvant qu'il est très facile de faire une entaille dans une prothèse posée sur la peau du cou, faite de silicone et quasi indétectable, dans laquelle un petit tube relié à une pochette de faux sang serait caché, un sang que l'on a vu sombre, épais, stagnant, ce qui contredit la dynamique effervescente d’une artère touchée. «C’est du faux sang tiré d’une petite poche explosive déclenchée par quelqu'un, comme au cinéma», affirme le journaliste.


Démonstration d'une entaille dans un cou parfaitement réaliste en silicone pour y cacher une pochette de sang que l'on peut déclencher à distance
Démonstration d'une entaille dans un cou parfaitement réaliste en silicone pour y cacher une pochette de sang que l'on peut déclencher à distance

Le journaliste évoque aussi la présence suspecte d’un garde, positionné immédiatement à la gauche de Kirk, dont le geste aurait pu actionner à distance le détonateur du dispositif. Il est vrai que la séquence est troublante et met franchement mal à l'aise. Cet homme en vert que Dammegard prétend avoir identifié, Edward Gallagher, serait le même que celui qui porte le corps de Kirk en dehors de l'enceinte (photo ci-dessous).


ree

Ole Dammegard affirme que c'est une même équipe de professionnels qui ont orchestré la simulation de l'attentat et évacué Charlie Kirk
Ole Dammegard affirme que c'est une même équipe de professionnels qui ont orchestré la simulation de l'attentat et évacué Charlie Kirk

ree
 Edward Gallagher a témoigné de son passé militaire ( et criminel) dans une célèbre émission américaine sur CBS
 Edward Gallagher a témoigné de son passé militaire ( et criminel) dans une célèbre émission américaine sur CBS

Doubles, mercenaires et épouses interchangeables

Au-delà de la fusillade, Dammegård s’intéresse à ce qu’il considère comme une «galerie d’ombres». D’abord le tireur supposé, l'homme en tenue militaire et lunettes noires dans le cliché précédent et qu’il pense avoir identifié comme étant Edward Gallagher, ancien militaire américain, membre des Navy SEALs, un groupe d'élite de la marine américaine. Il est connu pour avoir été poursuivi pour crime de guerre en cour martiale, pour le meurtre au couteau et avec préméditation d'un prisonnier adolescent blessé et anesthésié, membre de l'État islamique, et pour avoir posé en tenant la tête de sa victime par les cheveux pour une photographie qu'il a envoyée à des amis. Gracié par Donald Trump qui le considérait comme un «grand combattant», des vidéos obtenues par le New York Times montrent d’anciens membres de l'unité d’élite de Gallagher témoigner à charge, le qualifiant de «complètement taré» et «toxique». En effet, sa ressemblance avec l'homme en T-Shirt militaire est troublante.


Ole Dammegard, en fin renard et spécialiste des opérations psychologiques aurait réussi à identifier un autre homme sur la scène du crime à l'Université de l'Utah. Il s'agirait de Sean Curran, directeur de l'United States Secret Service depuis 2025. Il était présent lors de la première tentative d'assassinat contre Donald Trump, ou il faisait partie des agents se précipitant pour le protéger. À partir de cette ressemblance, il avance l’hypothèse que cet homme ferait partie d’une équipe de professionnels impliquée dans de nombreuses mises en scène.


ree
Le même Sean Curran lors de la tentative d'assassinat de Donald Trump à laquelle Ole Dammegard ne croit pas non plus
Le même Sean Curran lors de la tentative d'assassinat de Donald Trump à laquelle Ole Dammegard ne croit pas non plus

Qui était vraiment Charlie et Erica Kirk? Mais le sujet le plus explosif est l’identité même de Charlie Kirk. Dammegård compare les photos de celui qui a été présenté par les médias dans le monde entier et relève de nombreuses incohérences et différences: dents différentes, proportions faciales variant d'un visage à l'autre, son alliance déménage d'un doigt à l'autre au même instant, etc. Le journaliste s'interroge aussi sur les différents visages d'Erica Kirk. Selon lui, au moins deux personnes différentes ont publiquement incarné ce rôle, l’une mannequin liée à l’agence Trump, l’autre présentée lors des funérailles. «Nous sommes face à une rotation d’acteurs, comme dans une série télé, pour déstabiliser l’opinion et empêcher d’ancrer une vérité visuelle sûre».


Erica avait remporté le titre de Miss Arizona USA en 2012. Elle a fondé ensuite Everyday Heroes Like You, une organisation à but non lucratif qui a plus ou moins disparu d'Internet et qui aurait soutenu des associations caritatives méconnues. «Cette structure aurait été active notamment en Roumanie, où Erica aurait collaboré sur des projets avec des orphelins et des programmes humanitaires en lien indirect avec l’appareil militaire américain et la Fondation Clinton». Ce qui aurait fait quelques remous, même si cette information a été rayée par les fact-checkers.


Une mère de famille avec plusieurs visages?
Une mère de famille avec plusieurs visages?
ree
L'alliance de Kirk se ballade de son annulaire à son auriculaire et toujours ces images floues
L'alliance de Kirk se ballade de son annulaire à son auriculaire et toujours ces images floues

ree
ree
La prise de parole publique et l' hommage rendu à son mari a semblé scénarisée pour beaucoup d'internautes et de témoins
La prise de parole publique et l' hommage rendu à son mari a semblé scénarisée pour beaucoup d'internautes et de témoins

Une foule fabriquée : l’hypothèse Crowds on Demand

Si aucune, voire très peu d'images ont été relayées par la foule témoin du drame, c'est pour une seule et unique raison, à en croire Ole Dammegard: «parce que la foule a été embauchée par une société privée», Crowds on Demand, ou Foules sur demande, une entreprise américaine connue pour mettre à disposition des figurants par centaines. Leur service inclut scénarisation de slogans, réactions calibrées et encadrement par des «contrôleurs» identifiables à leurs gestes.


Dans plusieurs plans, Dammegård pointe ces «contrôleurs», ces individus étonnamment calmes tandis que la foule feint la panique. Comme sur un plateau de cinéma, ces figurants attendraient le signal «Action!» pour courir dans une direction donnée. Payer une foule entière permet non seulement d’éviter les fuites vidéo, mais aussi de neutraliser toute réaction spontanée et d’assurer une cohérence dramatique.


ree

ree
ree

Plusieurs cercueils et plusieurs «look» «Lors de la présentation publique du corps de Charlie Kirk dans son cercueil, plusieurs détails interpellent», estime Ole. «Tout d’abord, le défunt ne semble pas vêtu de la même manière selon les clichés montrés, et même la couleur du cercueil paraît varier d’une image à l’autre. Ici, Kirk porte une cravate rouge, là bleue marine ou encore une veste à boutons.


Les mains, quant à elles, auraient l’aspect cireux, presque artificiel, évoquant davantage un mannequin qu’un corps réel». Ole s’attarde aussi sur la veillée: son épouse est filmée en train de tenir la main de son mari, mais ses bijoux, notamment un imposant anneau frappé du fameux «G», rappellent directement l’imagerie maçonnique.


S’ajoute à cela un détail que Dammegård considère comme un signe codé: un bouton de veste laissé ouvert sur le torse du défunt, pratique inhabituelle en contexte funéraire. Enfin, les symboles visibles à l’arrière-plan, drapeaux et motifs géométriques, viendraient compléter ce qu’il interprète comme une mise en scène codifiée, riche en signes à destination des initiés.

ree
ree
ree
ree

Un théâtre aux résonances symboliques et géopolitiques

Reste la question: pourquoi? Pour Dammegård, l’affaire Kirk illustre un modèle d’«opération psychologique à multiples étages» et profitant à de nombreux intéressés. Symboliquement, les pyramides, obélisques et codes de couleurs renforceraient un message occulte destiné aux initiés. Politiquement, l’assassinat simulé d’un leader conservateur permettrait de déployer le double agenda: parler intensément de contrôle des armes à feu et déclencher un débat polarisant sur les minorités sexuelles, puisque le «tireur» aurait été présenté comme transgenre et gay. Géopolitiquement, Dammegard voit la main d’intérêts liés aux sionistes et à Donald Trump, dont l’image messianique serait consolidée par ces épisodes soigneusement mis en scène.


Et Trump: sauveur ou acteur? D'ailleurs, pour le journaliste, la figure de Trump est plus que trouble. Ole souligne que dans l'un de ses discours de campagne devant un public chrétien, le Président avait déclaré:«C’est le moment de voter massivement pour moi, car après cette élection, les choses ne seront plus comme avant et tout sera organisé autrement». «Voulait-il parler de la mise en place du Nouvel Ordre Mondial», se demande Ole Dammegard?

Aussi, Ole se dit perplexe lorsque Donald Trump rend publiquement hommage à son ami Kenneth Copeland, un télévangéliste américain fanatique et influent, connu pour son style de vie luxueux, incluant des jets privés, ce qui a suscité des critiques et des enquêtes sur l'utilisation des fonds de son ministère. Trump le qualifie de «grand homme de la Nation» alors que d'autres y voient le «Diable lui-même». Il est vrai que ses expressions lors de ses prêches font froid dans le dos. Même au sein de sa propre communauté, des voix s'élèvent contre son emprise et ses comportements plus proches de la folie et de la schizophrénie que de l'inspiration divine...

ree

Un regard qui ne laisse pas indifférent
Un regard qui ne laisse pas indifférent

Après la mort alléguée de Kirk, des canaux liés à Kenneth Copeland ont publié des messages de prière et de soutien, ancrant l’affaire dans un récit spirituel de combat et de martyr, ce qui, selon Ole, sert la dramaturgie politico-médiatique. Copeland est présenté par Ole Dammegard comme pièce du dispositif narratif relié à Trump: un legs spirituel qui valide, bénit et amplifie la portée politique de l’événement Kirk auprès de l’électorat chrétien. Dans sa grille, c’est une couche de plus du théâtre politico-médiatique. «Nous ne sommes pas spectateurs d’un attentat, mais d’une pièce de théâtre, avec des acteurs, un décor, une symbolique cachée et un but politique global », martèle-t-il. Aussi, Dammegard suspecte Donald Trump de s’entourer volontairement de personnalités ayant une aura douteuse (Copeland comme « faux prophète », Abramović comme « sorcière », etc.), pour envoyer des signaux codés à différents publics: aux chrétiens, il leur vendrait la promesse de sa protection et d'un pouvoir politique; aux élites occultes, il leur rappellerait son appartenance à leur agenda ésotérique (pyramides, 33, sang, sacrifice). Selon le journaliste suédois, le Président s'exprime souvent sur des tribunes qui grouillent de signes cabalistiques et de symboles ésotériques (photos ci-dessous).


ree
L'une des diapositives préparée par Ole Dammegard dans sa présentation réservée à ses adhérents sur son site internet
L'une des diapositives préparée par Ole Dammegard dans sa présentation réservée à ses adhérents sur son site internet

ree

L’appel d’Ole Dammegård: «Sortez de la pièce, circulez, il n'y a rien à voir!»

En guise de clôture, Ole Dammegård se garde de prophétiser une vérité définitive. Mais pour lui, la fusillade contre Charlie Kirk est «une construction scénarisée, où rien n’a été laissé au hasard», du sang artificiel à la foule sous contrat.


Comme toujours, que l'on adhère ou non à sa grille de lecture, il tire de ses analyses des enseignements sages et positifs. Il nous invite à refuser d’être entraîné dans cette logique de peur et d’illusion et à croire tout ce que l'on voit. Il ne s'agit pas de sombrer dans de la paranoïa et de voir un complot à tous les coins de rue, mais simplement d'apprendre à ne compter que sur sa réalité directe et son ressenti profond. «Ils contrôlent l’esprit par les images, pas le cœur. Éteignez le bavardage mental, écoutez votre intuition. Et surtout, ne soyez pas complices en croyant leurs scénarios», exhorte-t-il.


Au-delà du vrai et du faux, Dammegård nous invite à regarder au-delà du rideau, pour ne pas se faire happer par ce qu’il décrit comme «le théâtre permanent du Nouvel Ordre mondial.»


Si vous voulez écouter la vidéo originale, cliquez sur ce lien.

6 commentaires


bea.78
03 oct.

Chère Isabelle, alors là, je dois reconnaître que je suis scotchée et que mon côté candide vient d'en prendre un sérieux coup, après la lecture de vos écrits relatifs à l'analyse d'Ole Dammegard, qui est des plus pertinente ! Merci infiniment pour cette nouvelle grille de lecture, certes surprenant, mais qui était nécessaire pour me libérer de mes peurs et colères !

Ce gouvernement américain (et d'autres hélas) est prêt à tous les stratagèmes pour manipuler le Monde et ainsi mieux le contrôler.

En fait, l'histoire parle d'elle-même et les exemples ne manquent pas, hélas.

J'ai toujours eu un doute concernant la mort de Michael Jackson, qui visiblement avait des mœurs peu orthodoxes surtour avec les Enfants et qui se…


J'aime
En réponse à

Bonjour Béatrice! Merci de vos messages. Je vous invite à regarder ce film sur Michael Jackson. Personnellement, je pense qu'il était innocent, mais en savait un peu trop...

J'aime

zoomstone
28 sept.

Merci pour ce décorticage! Les analyses de Ole Dammegard me fascinent. Là, je me demande ce que devient ce Charlie en réalité, et aussi s‘il n‘aurait pas été plus simple de le supprimer réellement.

J'aime
En réponse à

C'est une très bonne question chère Elisabeth! Je prépare une interview prochainement avec Ole et je lui poserai ces questions. Biz

J'aime

amarie8b
26 sept.

Merci pour cette vision différente de la réalité qui nous est proposée à travers les images.

Ça permet effectivement de relativiser.

Une chose est cependant plus que certaine: tout est fait pour nous monter les uns contre les autres.

J'aime
En réponse à

Tout juste chère Anne-Marie! Tout est fait pour diviser, raison de plus pour rester centrer et aligné. Merci de ta lecture fidèle.

J'aime
bottom of page