Charlie Kirk et les strates invisibles du pouvoir
- Isabelle Alexandrine Bourgeois
- 18 sept.
- 11 min de lecture
Dernière mise à jour : 20 sept.
Charlie Kirk a été abattu le 10 septembre 2025, alors qu’il parlait à Utah Valley University dans le cadre de sa tournée «American Comeback Tour». Fidèle au journalisme proposé par Planète Vagabonde et à notre chronique RéLOVution*, décryptons ensemble plusieurs niveaux de lectures autour de cet événement, du plancher des vaches politique à la non-dualité, et restons dans le seul espace possible pour continuer à vivre dans la paix.

Charlie Kirk était un charismatique activiste de droite, influent dans les milieux ultra conservateurs, en particulier auprès de la jeunesse, fondateur de Turning Point USA, engagé le plus souvent en «terrain ennemi», avec bravoure et détermination, dans les débats culturels autour de la liberté d’expression, les revendications wokistes de la gauche progressiste, de l’immigration et des valeurs chrétiennes. Il parlait dans les universités, devant les jeunes qui lui étaient souvent hostiles, portait un discours à contre-courant de la «bien-pensance» et du politiquement correct, refusait ce qu’il appelait « la cancel culture » et débattaient dans le respect des mots, de l'autre et avec humanité, même si l'on pouvait contester certaines de ses opinions, notamment sur son négationnisme palestinien.
L'assassinat publique (c'est en tout cas la théorie officielle) de ce jeune époux et père de famille marque un tournant dans la répression mondiale des ambassadeurs du vivre-ensemble dans le respect des valeurs de chacun. À peine enterrée, la figure de Charlie Kirk devient un enjeu à instrumentaliser.
Avec ce drame, réapparaît le schémas récurent d’une concentration massive de médias sur un seul événement, tandis que meurent tous les jours des Palestiniens dans la plus grande injustice et loin des projecteurs. On ne peut pas rêver meilleure diversion. Observer ce phénomène et comprendre l'instrumentalisation derrière cette actualité permet d'activer en soi une alerte salutaire pour ne pas se faire happer par l’envoûtement collectif des narratifs et des idéologies.
En quelques jours seulement, nous avons été bombardés par mille et une hypothèses, souvent abracadabrantes, nous obligeant à nous détacher des récits fabriqués pour questionner notre boussole intérieure.
Même si cet assassinat est monté dans le monde comme des blancs en neige, il mérite que l’on s’y arrête pour apprendre à décortiquer en conscience plusieurs niveaux de lecture de cette actualité-choc.
Je vous invite à passer sous la loupe ce mille-feuilles politico-sensationnaliste, orchestré comme un sort jeté aux esprits faibles, comme de la magie noire en politique. Passons en revue les strates possibles (politique, économique, totalitaire, apocalyptique, eschatologique, spirituelle, métahistorique, non-duelle, christique) pour prendre de la hauteur et rester dans un espace d'ouverture, de détachement et de confiance.

La strate de la lecture militante ou politique, selon l’axe gauche/droite
L’assassinat est présenté comme un fait divers tragique, commis par un déséquilibré ou un extrémiste idéologique. L’événement est dépouillé de tout contexte géopolitique ou spirituel, et il sert surtout à renforcer la polarisation politique.
Pour la gauche progressiste, cet événement est la conséquence des discours de haine de la droite, voire une forme de retour de bâton karmique. Pour la droite conservatrice, Charlie Kirk est un martyre: une preuve que la liberté d’expression conservatrice est menacée, et que la violence de gauche est tolérée. L’événement devient un outil de propagande pour chaque camp, alimentant la dialectique de la victimisation mutuelle. C’est le niveau du plancher des vaches où l’on croit aveuglément ce qui est relayé par les médias. À ce niveau, il est question d’alimenter la peur, l’indignation, et renforcer l’appel à plus de surveillance des discours jugés « extrémistes ».
Joey Mannarino, influenceur pro-Trump qui compte plus de 600 000 abonnés sur X, a exhorté Trump à adopter une approche similaire à celle du Salvador, en référence à la campagne controversée de ce pays consistant en des arrestations massives et la suspension des libertés civiles, qui lui a valu des accusations d'autoritarisme et de violations des droits humains. «Trump doit suivre l'exemple de Bukele. Maintenant. Remplissez les prisons avec ces terroristes», a déclaré Mannarino.

La strate de la fracture interne au MAGA
La célèbre et vaillante journaliste américaine Candace Owens a affirmé que Kirk était en train de changer d’opinion sur Israël, vers une ligne plus critique, en pointant plus directement l’implication d’Israël dans les attentats du 7 octobre. Candace Owens a également déclaré que Charlie Kirk aurait été soumis à des pressions croissantes de la part de bailleurs de fonds pro‑Israël, au sein du milieu conservateur, pour modérer ou changer son discours sur Israël, dont le milliardaire Bill Ackman.
Les fractures internes au sein du mouvement MAGA (Make Amercia Great Again) sont de plus en plus importantes et exposent des divergences entre Trumpistes pro Israël contre ceux qui sont en faveur d’un détachement. Charlie Kirk devenait donc le poil-à -gratter de la fange fidèle au sionisme. Le journaliste et influenceur Tucker Carlson a affirmé que Charlie Kirk lui avait confié en privé à plusieurs reprises son aversion pour Benjamin Netanyahu. Selon Carlson, Kirk voyait Netanyahu comme une force destructrice, horrifié par les enfants tués à Gaza sous son autorité. Kirk estimait que Netanyahu affaiblissait les États-Unis pour promouvoir ses propres ambitions et celles de son pays. Carlson a ajouté que les donateurs israéliens de Kirk « l’ont tourmenté jusqu’à sa mort ». Jusqu’à le faire taire.
Xavier Poussard, le journaliste et auteur du remarquable "Devenir Brigitte" rappelle lui aussi que Charlie Kirk, autrefois fervent défenseur d'Israël, avait commencé à dénoncer publiquement les liens troubles entre le lobby juif, l'affaire Epstein et le Mossad, accusant ces entités de financer des opérations de chantage pour contrôler les élites américaines et promouvoir des agendas woke destructeurs. Accessoirement, ce sujet récupéré par Candace Owens comme un gros os à ronger apparaît comme une diversion utile pour détourner l’attention de l’affaire Brigitte, dont les relents continuent d’incommoder le sommet de l’État. Ainsi, en recentrant le débat médiatique mondial sur l’instabilité américaine, ce drame affaiblit temporairement les projecteurs braqués sur Tel-Aviv. Écarter une voix libre tout en laissant un espace accru aux figures adhérant au sionisme, comme celui qui essaie déjà de se présenter comme son successeur, Ben Shapiro, peut être vu comme un recentrage opportuniste à l’agenda géopolitique israélien.
La strate des affaires par la polarisation
Voici une couche du mille-feuilles que l’on retrouve, hélas, depuis toujours: les affaires ou le fameux «business as usual». La radicalisation des discours dans les médias et sur les réseaux sociaux, particulièrement violente après le meurtre de Charlie Kirk, est alimentée par une mécanique bien huilée: les chaînes de télévision et les talk-shows prospèrent sur l’opposition frontale, transformant chaque débat en duel moral, voire mortel, où l’adversaire devient un ennemi absolu, ce qui attire l’audience et dope les revenus publicitaires.

Les réseaux sociaux amplifient ce mécanisme par leurs algorithmes qui récompensent les contenus les plus outranciers: un tweet extrême ou une vidéo choc devient viral en quelques minutes, incitant toujours plus d’acteurs à surenchérir. L’anonymat et la distance numérique défont les inhibitions: on ose appeler à la violence, parfois même au meurtre, comme certains commentateurs américains l’ont fait récemment contre des figures de gauche et de droite, convaincus que la guerre culturelle le justifie. Et ça paie, au propre comme au figuré.
La strate du passe pour un contrôle totalitaire
Le chaos recherché par la division à l’intérieur même du territoire américain fournit au gouvernement américain un prétexte idéal pour instaurer un état d’urgence. Officiellement motivé par la nécessité de prévenir de nouvelles violences politiques, un tel dispositif permet de renforcer la surveillance numérique, d’accroître les pouvoirs de la police fédérale, de restreindre certains discours sous couvert de sécurité nationale, et de neutraliser les organisations jugées extrémistes. En somme, la tragédie devient l’occasion d’étendre le contrôle de l’État, tout en se parant des habits de la protection publique.
Cette pratique de l'inversion des valeurs est utilisée à gauche comme à droite et à toutes les sauces: mesures sanitaires, climat, digitalisation de la monnaie, santé numérique. «Pour votre bien, nous facilitons votre aptitude à vous laisser contrôler. Laissez-vous injecter pour la santé de tous; laissez-vous digitaliser pour votre sécurité; laissez-vous parquer dans des villes 15 minutes pour le bien-être de la planète; laissez-nous votre compte et votre maison pour vivre dans la joie du dépouillement au nom du bonheur de tous», etc.
La strate du désordre mondial comme un signe des temps apocalyptiques
« Une nation s’élèvera contre une autre nation, et un royaume contre un autre… » avait prévenu Jésus (Matthieu 24:7). Cette explosion de haine interne vient renforcer une tension générale dans le monde occidentale, avec une montée du chaos entre peuples, annoncé comme un signe des temps. Certains analystes voient dans cet assassinat une opération sous faux drapeau (false flag) destinée à justifier une future répression des voix dissidentes (notamment conservatrices), sacrifier symboliquement une figure publique pour produire un choc émotionnel et reconfigurer les esprits, dans la même idée que le fameux 11 septembre 2001.
La strate de la psyop et le plateau de tournage hollywoodien Pour d'autres vieux renards, il s'agirait d'une opération psychologique et d'une mise en scène planifiée par les mêmes opérateurs de l'ombre que ceux qui auraient orchestré de nombreuses autres psyop à l'étranger afin de provoquer une onde de choc qui détournerait l’attention d’autres crises (guerres, scandales politiques, effondrements économiques). Dans cette hypothèse, Kirk ne serait pas réellement mort et son assassinat aurait été scénarisé comme un film, avec ses images fortes en direct devant les caméras du monde entier. A ce sujet, le célèbre journaliste Ole Dammegard, expert en debunkage des opérations sous faux drapeau depuis 40 ans, proposera un webinaire le 23 septembre à 15h00 (en anglais) sur ses propres conclusions autour de l'assassinat de Charlie Kirk. Et Planète Vagabonde prépare également une interview en français avec lui.
Les amateurs d'occultisme y voient un rituel orchestré à date et heure symboliques avec des signes cabalistiques dans le choix du lieu, de la mise en scène et de son message. L’événement serait instrumentalisé par une élite occulte, selon un agenda global (Ordo ab chao - ordre à partir du chaos).
Par exemple, les médias ont martelé le fait que le suspect, Tyler Robinson, aurait été arrêté 33 heures après le meurtre de Charlie Kirk. On associe fréquemment le chiffre 33 à un degré élevé dans la franc-maçonnerie: le 33ᵉ degré est souvent considéré comme le degré de maîtrise ultime, celui des initiés les plus secrets.
Le 33 pourrait être utilisé pour situer l’acte comme « initiatique »: l'initié (ici Kirk ou sa figure‑symbole) est tué ou sacrifié à un moment symboliquement important pour déclencher une transition vibratoire ou attirer l’attention d’une élite occulte.

Le nombre 47 brodé sur les casquettes de Charlie et distribuées dans ses événements, comme soutien à Donald Trump, le qualifiant de 47ᵉ président des États‑Unis, est aussi interprété par certains occultistes comme la promesse d'un nouveau cycle, d'une attente prophétique. En additionnant le chiffre 4 au chiffre 7, on obtient le maître nombre 11, symbole d’illumination, d’inspiration spirituelle et de mission d’âme. En numérologie, le chiffre 11 est souvent un symbole de porte, cela peut être interprété comme un message intermédiaire entre le visible (4) et l’invisible (7), bref le fameux turning point (point tournant) si cher à Kirk...

En outre, plusieurs médias dont Reuters indiquent que l’inscription «Bella Ciao» aurait figuré parmi les messages gravés sur les munitions par l'auteur du tir. Il s'agit du titre d'un chant italien, dont la version la plus célèbre est devenue l’hymne non officiel des résistants italiens (les partigiani) luttant contre le régime fasciste de Mussolini et l’occupation nazie (1943–1945). Il exprime le sacrifice, le courage face à la mort, la lutte pour la liberté et prend une dimension héroïque, presque sacrée, moult fois réapproprié par les mouvements féministes, écologistes, LGBTQ, etc.
Enfin, le chaos déclenché par l’assassinat de Charlie Kirk vient renforcer l’idée que la fin de notre civilisation est proche. Un passage obligé avant la grande libération. Dans la Bible, le chaos symbolise la chute des puissances terrestres, avant l’établissement du règne de Dieu.
La strate eschatologique et messianique
Une lecture sioniste eschatologique de l'événement pourrait voir l'événement comme un coup de pouce à la création du Grand Israël et à la venue du Messie des Juifs. Pour rappel, il s'agit d'une vision géopolitique et religieuse soutenue par certains courants sionistes extrémistes, selon laquelle l’État d’Israël devrait s’étendre bien au-delà de ses frontières actuelles, pour inclure des territoires bibliques allant du Nil à l’Euphrate. Ce projet s’appuie sur une interprétation littérale de la Torah, notamment de Genèse 15:18, où Dieu promet à Abraham une terre s'étendant «du fleuve d'Égypte jusqu’au grand fleuve, le fleuve Euphrate», soit complètement ou des portions des Territoires palestiniens, du Liban, de la Syrie, de la Jordanie, de l’Égypte, de l’Irak, voir même de l’Arabie Saoudite et du Koweït, selon les interprétations diverses et variées.
Charlie Kirk était-il en train de compromettre le soutien des évangélistes si précieux aux sionistes dans leur projet messianique? Si les Evangélistes soutiennent l’État d’Israël, ce n'est pas par sympathie politique, mais parce qu’ils y voient eux aussi l’accomplissement des prophéties bibliques qui précèdent le retour de Jésus. Bref, c'est du gagnant-gagnant, jusqu'à la lutte finale entre leur messie respectif! Ça promet...
La strate du combat cosmique entre les forces de l’Ombre et de la Lumière
Charlie Kirk devient ici une figure sacrificielle dans un combat plus vaste: celui entre les forces involutives de l’ombre (mensonge, domination, chaos) et les forces de la Vie (vérité, liberté, conscience). Son assassinat n’est plus un fait politique, mais un acte énergétique destiné à faire baisser la fréquence collective par la peur, la haine, la division. Il incarne, consciemment ou non, le réveil d’une parole lucide dans un monde contrôlé, et son élimination est un signal à d’autres éveillés. L’ombre, à travers cet acte, tente de décourager l’incarnation de la Vérité.

La strate non-dualiste au-delà des polarités
Ici, l’assassinat est vu comme un événement inscrit dans la matrice du jeu terrestre, sans bien ni mal absolu. L’acte est une opportunité pour l’éveil, à la fois pour ceux qui observent, que pour l’âme de Charlie Kirk, qui aurait choisi ce départ comme point de bascule collective. Toute réaction émotionnelle excessive (colère, vengeance, idolâtrie) alimente l’égrégore de la division. Ce niveau appelle à rester témoin, sans se laisser emporter par le drame, mais en l’intégrant comme une étape du cycle de transmutation.
La strate métahistorique et christique
Voici une lecture au-delà de la mort et de la forme. La figure christique qu’aurait probablement aimé incarner Charlie Kirk représenterait une message d'espoir: celui qui transmute la souffrance en éveil, la division en unité, la mort en résurrection de conscience. La seule réponse possible à ce niveau est l’Amour inconditionnel et la foi que tout sert l’éveil, même l’horreur. Charlie Kirk, qu’il soit vu comme victime ou instrument, devient une étape d’élévation pour ceux qui choisissent cet angle de lecture. Un peu comme l’on été certains de ses malheureux prédécesseurs.

Parmi les exemples historiques, retenons évidemment la figure de Jésus, cloué sur la croix pour avoir dénoncé l’hypocrisie religieuse, la corruption des prêtres, les puissances de l’argent religieuses et politiques; Abraham Lincoln, assassiné pour avoir voulu abolir l’esclavage, s’opposer à de puissants intérêts sudistes; John F. Kennedy, pour ses projets de contrôle des armements, pour ne pas s’aligner totalement sur certains intérêts militaires ou industriels; Martin Luther King Jr., pour sa lutte contre la ségrégation, le racisme institutionnel, pour la non violence et la justice; Malcolm X, Anna Politkovskaïa, Gandhi, figures idéalistes qui ont payé de leur vie leur parole forte contre ce qu'ils percevaient comme des injustices.
Une danse de la conscience à tous les étages
Les faits publics montrent que, autour du meurtre de Charlie Kirk, il ne s’agit plus seulement d’un acte isolé, mais d’un miroir de nos fractures. Certaines strates hypothétiques restent non confirmées, mais le terrain est fécond pour les interprétations multiples: idéologique, symbolique, religieuse et métaphysique.
Se cramponner à un seul angle d’analyse, c’est céder à la tentation des gradins romains, là où la foule ivre de peur et de passion criait pour son champion, indifférente au sang qui coulait sur le sable. C’est se réduire à un regard unique, figé, alors que la réalité est toujours multiple, mouvante, fractale.

Le meurtre de Charlie Kirk révèle nos propres loupes, nos blessures, nos élans. Certains réclameront vengeance et justice, d’autres se tourneront vers la prière ou le silence, d’autres encore chercheront des explications cachées dans les replis du pouvoir. Et parfois, en nous-mêmes, ces voix cohabitent, sans s’annuler: on peut vouloir que le meurtrier soit jugé, que la vérité soit faite, et en même temps s’incliner devant le mystère du destin qui a conduit Kirk jusqu’à cette fin. Chacun a son propre niveau de lecture et la vie est une danse de la conscience d'un étage à l'autre.
L’essentiel n’est pas de choisir un camp dans l’arène, mais de s’observer dans la façon dont chaque facette s’allume en nous: colère et compassion, désir de justice et accueil du sacrifice, certitude rationnelle et intuition mystique. Chacun porte en lui ce prisme où toutes les lumières coexistent.
Savoir s’y accueillir, sans jugement, c’est apprendre à regarder le monde non plus comme une bataille à gagner, mais comme une énigme à traverser. C’est accepter que notre conscience danse entre les étages, parfois au rez-de-chaussée des faits, parfois dans les hauteurs d’une paix tranquille. C’est là que réside la véritable liberté: dans cette capacité à ne pas s’agripper à un récit unique, mais à contempler en soi la totalité du spectre. Enfin, il y a encore peut-être une dernière strate ou celle qui n'en est plus une: celle de ne plus chercher à interpréter, mais juste à vivre intensément ce qui frémit autour de soi, dans le moment présent, dans un détachement qui n'est pas de l'indifférence. Et simplement observer le mille-feuilles en nous à chaque instant, avec beaucoup d'amour et un peu de crème fraîche entre les couches. *RéLovution est le titre d'une chronique consacrée au décryptage/décodage d'un événement d'actualité selon plusieurs angles et niveaux de lecture.
Et un petit clin d'oeil humoristique pour les anglophones...
